Candidat retenu à l'élection controversée du 31 octobre 2020, le « Sphinx » de Daoukro s'était vu propulser à la tête d'une moribonde structure de transition dénommée « Conseil National de Transition » (CNT) après la désobéissance civile et l’échec de l'opposition Ivoirienne à faire renoncer Monsieur Alassane Ouattara à un troisième mandat.
Selon des sources bien introduites au sein du Palais Présidentiel, ADO conforté par son passage en force du 31 octobre 2020, n'attendait qu'une erreur fatale de son « aîné » HKB pour le « neutraliser » définitivement et mettre un terme aux activités de toute l'opposition Ivoirienne afin d'asseoir son pouvoir.
Profitant donc de la désignation du Président Bédié à la tête du CNT par ses paires de l'opposition, Alassane Ouattara décida de restreindre la liberté de celui-ci et fit le vide autour de lui, en procédant au remplacement de tout le personnel qui meublait sa vie courante.
Totalement isolé, beaucoup de « choses suspectes » se seraient passées pendant l'absence de ses proches indiquent nos sources.
A quatre-vingt-six ans, il serait tout à fait naturel que le bouddha de Daoukro ne se remette pas d'un quelconque malaise...
Affaire à suivre
Échos confidentiel du 22/11/2020